« Au début de la médiation, je me retenais pour ne pas trop en dire, je n’avais pas totalement confiance. Puis, au fur et à mesure des entretiens, j’ai compris que le médiateur familial n’était là ni pour moi, ni pour mon compagnon mais pour l’un et l’autre. Il ne nous a jamais jugé, ne nous disait pas ce qu’il fallait faire et c’est peut-être pour cela que nous avons pu nous dire tant de choses ».
« Quand, à l’entretien d’information, la médiatrice a prononcé le mot « dialogue », j’ai eu envie de partir et finalement, j’ai pris le risque de la rencontre. J’ai accepté d’écouter et je me suis senti compris dans ce que j’avais à dire. J’ai pu expliquer longuement pourquoi je tenais tant à accueillir mes enfants plus d’un weekend end sur 2. Nous avons pu, ainsi, trouver une solution intermédiaire entre la résidence alternée et le droit de garde classique ».
« Je vous remercie : j’ai enfin pu revoir mes petits enfants pour Noël et ils nous téléphonent maintenant régulièrement ».
« Nous avons pu éviter le placement de notre maman en maison de retraite car nous avons su profiter de la médiation pour mettre en place une nouvelle organisation de vie pour elle avec la participation de chacun ».
« Je me sens rassurée car ma fille me parle librement maintenant des weekends passés chez son père Auparavant, il le lui interdisait ».
« La cohabitation avec notre fils de 20 ans était devenu insupportable. Nous avons pu redéfinir ensemble des règles de vie ».